Bonjour @hifo13
Êtes-vous sûr de vouloir dire MySports et non blue Sport ?
Un e-mail est arrivé aujourd’hui de blue Sport indiquant qu’à partir du 1er septembre, le prix de blue Sport grimpera à 34,90 pour les clients existants.
@Albatros2 non en 8K 🤣
Blague à part. L’acquisition des droits sportifs est aujourd’hui un véritable combat, notamment lorsqu’il s’agit du football et du hockey sur glace.
Ce que je ne comprends pas, c’est qu’il existe d’autres sports qui seraient encore plus intéressants que de pousser constamment le ballon.
J’aimerais pouvoir négocier quelque chose avec Discovery ou DYN.
Vous seriez alors beaucoup plus polyvalent.
DYN n’a certainement presque aucun abonné en Suisse et Discovery+ n’est plus représenté en Suisse après la fin d’Eurosport Player/Premium.
@roku73 a écrit :
Blague à part. L’acquisition des droits sportifs est aujourd’hui un véritable combat, notamment lorsqu’il s’agit du football et du hockey sur glace.
Ce que je ne comprends pas, c’est qu’il existe divers autres sports qui seraient encore plus intéressants que de pousser constamment le ballon.
Cette poussée de balle est quelque chose qui, de tous les sports télévisés, attire le plus de téléspectateurs sur leurs écrans.
On peut compter d’une part les sports qui attirent les téléspectateurs sur leurs écrans.
Football, ski de compétition, sport automobile, tennis, hockey sur glace
Presque personne ne regarde le reste et cela n’intéresse pas les chaînes de télévision payantes.
En 1997, une plateforme de télévision payante, ITV Digital, a été lancée, payant des sommes énormes pour les droits du football et sans sous-licence.
Le fait est que l’exclusivité de la télévision payante n’est qu’une raison pour laquelle une très faible proportion de téléspectateurs change de fournisseur de télévision.
Faillite de 2002.
On imaginait qu’un certain nombre de téléspectateurs payants changeraient de fournisseur de télévision payante.
Pendant longtemps, la British Football Association a eu un problème avec les droits détenus par une entreprise qui avait fait faillite.
Des sous-licences sont désormais en cours en Grande-Bretagne afin de rendre les droits financièrement viables.
Le hockey sur glace attire environ 10 fois moins de téléspectateurs que le football.
Il y a eu une répétition. Cablecom a également payé une somme énorme pour les droits du hockey sur glace et n’a pas accordé de sous-licence. A l’époque, la fédération de football n’avait pas répondu à cette offre complètement exagérée.
Le patron de l’époque, M. Tveter, avait exclu toute sous-licence.
Les droits sur le hockey sur glace ont chaque année causé un énorme trou dans les caisses de Cablecom. Avec les droits du football, ils auraient peut-être brisé le cou de Cablecom.
Cela n’a changé que lorsque M. Tveter a quitté Cablecom…
Glotzologue