@NoGoogleTVBox
Sur l’illégalité, tout est possible, mais a priori, Swisscom s’est assurée que les conditions contractuelles et la loi soient respectées, notamment avec son propre préposé à la protection des données, qui, selon les propres dires de Swisscom, collabore étroitement avec le Préposé fédéral à la protection des données et à la transparence. Mais bien que je ne veuille pas préjuger de la position du PFPDT, je crains qu’il n’y ait que le TF pour régler la question, ou l’instance européenne.
Au demeurant, c’est à nous, citoyens, de dire à Berne ce qui est acceptable, et pas à nous de simplement constater ce que Berne trouve acceptable — je parle de l’omniprésence des GAFAM, bien sûr, et pas seulement de nos boîtiers TV.
Lorsqu’on voit des entreprises suisses (p. ex. Infomaniak) ou basées en Suisse (p. ex. Proton) qui se présentent explicitement comme solution de remplacement à Google, on est en droit de se dire que Swisscom ne va pas dans le bon sens de l’histoire — oui, je sais, je parle d’un boîtier TV, mdr.
Oui, je faisais allusion à ce téléphone et son Apostrophy OS — mais il faut savoir qu’il est basé sur GrapheneOS, qui rappelle que le haut niveau de sécurité ne peut être garanti que sur des téléphones Pixel, soit dit en passant.
@Lapinou
Oui, cela semble vraisemblable.
En ce qui concerne les téléviseurs connectés, je pense que c’est pire que tout (la surcouche des fabricants, le manque de mises à jour de sécurité…).
Mais que faut-il donc comprendre ? Que ces dernières années, Swisscom était dans l’illégalité, ou que la mise à jour a bien amené une nouveauté ?
@Prelude
C’est peut-être beaucoup de bruit pour rien, mais comment le savoir ?
Les quatrième et cinquième messages de ce fil de discussion, qui font part de certaines craintes, datent du 20 août, et passablement de personnes semblent y avoir adhéré. De mon côté, je n’ai été mis au courant par Swisscom de la mise à jour que le 15 octobre, je ne sais donc pas si Swisscom a adapté sa communication entre-temps.
Mais où sont les explications officielles dépourvues d’ambiguïté ?
Swisscom m’a fourni quelques réponses, mais il reste des zones d’ombres, et, j’étais prêt à relativiser les conséquences de la mise à jour si l’on m’avait expliqué que Google était en réalité déjà aussi bien établi dans mon salon depuis des années. Je n’ai pas eu cette réponse.
Beaucoup de bruit pour rien, ou peut-être pas assez de bruit… En tous les cas, si ça peut faire comprendre à Swisscom qu’il n’y a pas que des gens qui réclament le magasin Google Play dans notre population, ça sera toujours utile.