Que le « chiffrement de bout en bout » soit une description exacte à 100 % est en réalité secondaire par rapport à la compréhension de la manière dont quelque chose comme celui-ci est configuré. 😉
Si vous recherchez [hdcp recherché sur Google](https://www.google.com/search?q=hdcp&sxsrf=ALiCzsaeDXHg35I54nD4DFyUj__RAzKpiQ%3A1652979510421&ei=NneGYrnW F5Th7_UP4PqM4A0&ved=0ahUKEwi5yabEhOz3AhWU8LsIHWA9A9wQ4dUDCA4&uact=5&oq=hdcp&gs_lcp=Cgdnd3Mtd2l6EAMyBAgjECcyBAgAEEMyB QgAEIAEMgsIABCABBCxAxCDATIFCAAQgAQyBQgAEIAEMgUIABCABDIFCAAQgAQyBQgAEIAEMgUIABCABDoRCC4QgAQQsQMQgwEQxwEQ0QM6BwgAELED EEM6CggAELEDEIMBEEM6CAgAEIAEELEDSgQIQRgASgQIRhgAUABYPglg9gpoAHABeACAAYQBiAGMA5IBAzIuMpgBAKABAcABAQ&sclient=gws-wiz), Ce texte apparaît très en évidence : "HDCP signifie “High-bandwidth Digital Content Protection”, qui se traduit par “protection des contenus numériques à haute bande passante”. Le procédé développé par Intel en 2003 est donc une sorte de protection contre la copie."
Il ne s’agit pas principalement de chiffrement de bout en bout, mais plutôt de garantir que seuls les appareils autorisés sont autorisés à transmettre et à traiter les données transmises. Si un appareil signale « Je ne peux rien faire avec ça » ou « huh, que veux-tu de moi ? », la transmission est interrompue ; La manière dont les données passent de A à B n’a pas vraiment d’importance. La chaîne de lecture source <-> image doit donc pleinement supporter le DRM/HDCP.
Et vu sous cet angle, on pourrait être enclin à appeler cela un chiffrement de bout en bout, car sans décryptage final, aucune image n’arrive, ou du moins pas celle que nous aimerions voir.