Ces nouvelles conditions qui nous imposent la publicité sont assimilables à du racket dans la pure tradition mafieuse.
Tous les moyens sont bons pour extorquer un ou deux francs à un client qui paye péniblement ses abonnements Swisscom.
Consulter ses courriels devrait être aussi simple que de vider sa boîte aux lettres pourvue d'un autocollant "Pas de pub ni de journaux SVP", ce qui actuellement fonctionne assez bien avec la Poste et les autres distributeurs privés.
De plus, ces publicités imposées à ceux qui les refusent seront bien sûr prêtes à installer de nouveaux cookies dont Swisscom n'aura pas à se soucier.
Voilà, mon coup de gueule du 25 août 2022.
Jean Rossel